ATLANTA RHYTHM SECTION Anthology Greatest & Latest (2007)
Musicians
: Dean Daughtry - keyboards, drums & vocals /Steve Stone - rhythm guitar
& slide
Justin Senker - bass / Jim Keeling - drums / Andy ANderson - lead & background
vocals
David Anderson - guitar, bass & drums / Alan Accardi - guitar & vocals
Titres :
1 - So Into You
2 - Spooky
3 - Hold On Loosely
4 - The Boys Are Back In Town
5 - Takin' Care Of Business
6 - Love Hurts
7 - Call Me The Breeze
8 - Sharp Dressed Man / Gimme
All Your Lovin'
9 - Help Is On Its Way
10 - I'm Not Gonna Let It Bother
Me Tonight
11 - The Ballad Of Lois Malone
12 - Sleep With One Eye Open
13 - Imaginary Lover (live)
14 - Champagne Jam (live)
Alors là... Si il y a bien une sortie surprenante c'est bien celle-ci
car, comme aurait pu le confirmer le nom de cet album (« Anthology »), on
pouvait s'attendre logiquement à un nouveau et énième « Best
of » de l' « ARS », mais quelle ne fut
pas ma surprise en mettant la galette dans le lecteur. Tout d'abord, si il
y a des titres standards du groupe comme "So in to You", "Spooky",
I'm Not Gonna Let it Bother Me Tonight", cette fois-ci ils sont revisités
et interprétés par
Andy Anderson le chanteur qui a eu la lourde tâche de remplacer le
grand Ronnie Hammond, mais le plus étonnant vient principalement du
reste de l'album où Steve Stone et ses amis ont tout simplement décidé
de placer quelques reprises standards du Southern et Classic rock comme « Hold
on Loosely » ( 38 Special ), « The Boys are back in
town » ( Thin Lizzy ) « Takin care of business »
( Bachman Turner Overdive ), « Call me The Breeze »
( JJ Cale-Skynyrd ) et même « Sharp Dressed Man/ Gimme All
Your Lovin » ( ZZ Top ). Avouons honnêtement
qu'on ne s'attend pas forcément à ça de la part
de l' « ARS », mais bon, la surprise c'est aussi
et surtout la qualité de ces covers, et de ce coté là
l' « Atlanta Rhythm Section » n'a pas vraiment
de souci à se faire, j'irais même jusqu'à dire que ça
en dit long sur l'esprit du groupe et que c'est vraiment sympa de les entendre
faire ces reprises. Je citerai quand même aussi les très
bonnes versions de « The ballad of Lois Malone », « Imaginary
lover », et « Champagne Jam », alors même
si je ne comprends toujours pas pourquoi ce titre d'album (?, contractuel
peut-être ? ), ce n'est pas très grave tant c'est intéressant
musicalement !
John Molet